10 manières de réduire votre risque de trouble neurocognitif
Bien que certains facteurs de risque, comme l’âge et la génétique, ne soient pas modifiables, vous pouvez prendre des mesures pour réduire votre risque de développer un trouble neurocognitif.
Le nombre de personnes recevant un diagnostic et vivant avec un trouble neurocognitif au Canada augmente. D’ici 2050, plus de 1,7 million de personnes devraient vivre avec un trouble neurocognitif dans notre pays. Mais il y a de l’espoir!
Ensemble, nous pouvons prendre des mesures pour réduire notre risque de développer un trouble neurocognitif.
Bien que certains facteurs de risque, comme l’âge et la génétique, ne soient pas modifiables, vous pouvez prendre plusieurs mesures pour réduire votre risque général, et cela à n’importe quel moment de la vie.
Plus vous prenez de mesures, mieux c’est ! Et, si vous ne réussissez pas à réduire un facteur, concentrez-vous sur les autres! Il y a toujours une possibilité de prendre des mesures et de réduire votre risque… d’une manière ou d’une autre.
La Société Alzheimer recommande ces 10 manières fondées sur des données probantes pour réduire votre risque de trouble neurocognitif :
Soyez physiquement actif chaque jour
Bougez! Courez, faites de la marche, du vélo, du jardinage, de la danse, ou encore des tâches ménagères ou travaillez dans le jardin. N'importe quelle activité physique... c'est mieux que pas du tout!
Protégez votre ouïe
La perte auditive en milieu de vie peut augmenter le risque de trouble neurocognitif de 90 % en moyenne. L'utilisation d'appareils auditifs, au besoin, peut aider à réduire ce risque. Protégez votre ouïe contre les bruits forts. Faites vérifier votre ouïe.
Restez socialement actif
Restez en contact avec votre famille, vos amis et les membres de la communauté. Les visites et activités virtuelles comptent également! L'isolement social, plus tard dans la vie, peut augmenter le risque de trouble neurocognitif de 60 % en moyenne.
Gérez et informez-vous sur vos problèmes de santé
Avec votre prestataire de soins, essayez de gérer vos problèmes complexes, comme le diabète et l'obésité, du mieux que vous le pouvez. Ces deux problèmes en particulier peuvent augmenter le risque de trouble neurocognitif.
Cessez de fumer
Arrêter ou réduire votre consommation de tabac, même plus tard dans la vie, peut améliorer votre santé cérébrale et réduire votre risque de trouble neurocognitif. Demandez du soutien à votre équipe de professionnels de la santé!
En cas de dépression, cherchez de l'aide
La dépression, c'est bien plus que de se sentir triste. Chercher un traitement contre ce problème ainsi que du soutien contribuera à améliorer votre humeur et le fonctionnement de votre cerveau; cela vous permettra aussi de prendre des mesures à l’égard des autres facteurs de risque.
Consommez moins d'alcool
Les recherches démontrent que la consommation de plus de 12 boissons standard par semaine en milieu de vie augmente le risque de trouble neurocognitif de 20 % en moyenne. Au lieu de cela, essayez de goûter au nombre croissant de cocktails et de boissons sans alcool! Et, si vous avez besoin d'aide pour arrêter ou limiter votre consommation, parlez-en à votre prestataire de soins de santé.
Protégez votre cœur
Travaillez avec votre prestataire de soins de santé, surveillez et gérez votre tension artérielle et votre santé cardiaque. Ce qui est bon pour le cœur, l'est aussi pour le cerveau!
Évitez les commotions et les traumatismes crâniens
Restez à l'écart des activités qui pourraient présenter un risque pour votre cerveau. Suivez les règles de circulation et les règles de sécurité des piétons. Soyez conscient de votre environnement. Divertissez-vous, voyagez et travaillez en toute sécurité!
Cherchez à avoir un sommeil de qualité
Essayez de bien dormir pendant 6 à 8 heures chaque nuit. En cas d'apnée du sommeil, ou d'autres problèmes de sommeil, discutez avec votre prestataire de soins de santé à propos d'options de traitement.
Découvrez les 10 manières de réduire votre risque de trouble neurocognitif dans notre affiche téléchargeable.