Connaissez-vous bien les risques de troubles neurocognitifs?

Canada

Vous pensez savoir comment réduire votre risque de trouble neurocognitif? La Société Alzheimer du Canada vous lance le défi de tester vos connaissances et de répondre à nos questions portant sur la réduction du risque de trouble neurocognitif!

Connaissez-vous bien les risques de troubles neurocognitifs?

Savez-vous ce que vous pouvez faire pour protéger votre cerveau et réduire votre risque de trouble neurocognitif? Vous pouvez prendre de nombreuses mesures et faire certains choix pour garder votre cerveau en bonne santé et réduire le risque de troubles neurocognitifs, comme :

Il est maintenant temps de tester vos connaissances sur le sujet! Vous avez répondu correctement à toutes les questions?

Cet article Web a été initialement publié le 5 octobre 2021.

1. Vrai ou faux? Je peux faire certaines choses pour réduire mon risque de trouble neurocognitif.
Réessayer!

Réponse : A. Vrai


Oui. Vous pouvez faire certaines choses dès à présent pour réduire votre risque de trouble neurocognitif! Bien qu’il existe certains facteurs qui augmentent le risque, ou sur lesquels nous n’exerçons aucun contrôle, comme l’âge, le sexe et la génétique, les chercheurs estiment qu’environ 40 % des diagnostics pourraient découler de 12 facteurs de risque contrôlables.

Ces facteurs vont du tabagisme, au manque d’activité physique, en passant même par la pollution atmosphérique, comme les dernières recherches l’ont dévoilé. Vous pouvez dès maintenant suivre des conseils et adopter des stratégies pour gérer ces facteurs et réduire le risque!

Découvrez-en plus sur les facteurs de risque contrôlables.
Exactement!

Réponse : A. Vrai

Oui. Vous pouvez faire certaines choses dès à présent pour réduire votre risque de trouble neurocognitif! Bien qu’il existe certains facteurs qui augmentent le risque, ou sur lesquels nous n’exerçons aucun contrôle, comme l’âge, le sexe et la génétique, les chercheurs estiment qu’environ 40 % des diagnostics pourraient découler de 12 facteurs de risque contrôlables.

Ces facteurs vont du tabagisme, au manque d’activité physique, en passant même par la pollution atmosphérique, comme les dernières recherches l’ont dévoilé. Vous pouvez dès maintenant suivre des conseils et adopter des stratégies pour gérer ces facteurs et réduire le risque!

Découvrez-en plus sur les facteurs de risque contrôlables.
2. Quelle(s) activité(s) peuvent m’aider à réduire mon risque de trouble neurocognitif?
Exact, mais il y a une meilleure réponse !

Réponse : E. Toutes les réponses ci-dessus

Ces quatre mesures sont d’excellentes manières de réduire votre risque de trouble neurocognitif. Adopter une bonne approche à la santé cérébrale signifie rester socialement connecté, physiquement actif, gérer son stress et stimuler son cerveau.

Découvrez plus de conseils bons pour le cerveau.
You got it right!

Answer: E. All of the above.

All four of these actions are great ways to reduce your risk of dementia! Having a good approach to brain health means having a mix of staying socially connected, staying physically active, managing your stress levels and challenging your brain.

Read more about the brain-healthy tips to reduce your risk of dementia.
3. Vrai ou Faux? La perte des facultés auditives peut augmenter votre risque de trouble neurocognitif.
Désolé, essayez encore!

Réponse : A. Vrai


C’est malheureusement vrai. Bien que plus de recherches doivent être menées pour comprendre exactement le lien entre la perte des facultés auditives et le risque de trouble neurocognitif, voilà la bonne nouvelle : c’est un facteur de risque que vous pouvez minimiser si vous prenez soin de votre ouïe! Passez une évaluation annuelle et évitez d’écouter la musique trop fort. Si l’ouïe devient un problème, songez à porter un appareil auditif.

Téléchargez notre fiche d’information sur les facteurs de risque (PDF) : une ressource facile à imprimer sur les risques de trouble neurocognitif qui comprend plus de conseils sur les manières de gérer les risques, y compris la perte des facultés auditives
Exactement!

Réponse : A. Vrai


C’est malheureusement vrai. Bien que plus de recherches doivent être menées pour comprendre exactement le lien entre la perte des facultés auditives et le risque de trouble neurocognitif, voilà la bonne nouvelle : c’est un facteur de risque que vous pouvez minimiser si vous prenez soin de votre ouïe! Passez une évaluation annuelle et évitez d’écouter la musique trop fort. Si l’ouïe devient un problème, songez à porter un appareil auditif.

Téléchargez notre fiche d’information sur les facteurs de risque (PDF) : une ressource facile à imprimer sur les risques de trouble neurocognitif qui comprend plus de conseils sur les manières de gérer les risques, y compris la perte des facultés auditives
4. Quelle est l’approche la plus simple à adopter pour entamer une nouvelle routine?
Il y a une meilleure réponse !

Réponse : C. Me fixer des objectifs raisonnables pour commencer


Bien que l’activité physique soit une excellente manière de réduire le risque de trouble neurocognitif, il est important de s’amuser aussi! Si l’activité vous prend trop de temps ou est trop difficile, cela pourrait vous décourager de continuer. Faites des exercices simples pour commencer et cela vous aidera à rester motivé et cohérent!

Entamer une nouvelle activité peut aussi être une excellente manière de lancer des défis à votre cerveau : assurez-vous simplement de ne pas trop en faire et sachez à quoi vous attendre!

Découvrez plus de conseils bons pour le cerveau et rester physiquement actif.
Exactement!

Réponse : C. Me fixer des objectifs raisonnables pour commencer


Bien que l’activité physique soit une excellente manière de réduire le risque de trouble neurocognitif, il est important de s’amuser aussi! Si l’activité vous prend trop de temps ou est trop difficile, cela pourrait vous décourager de continuer. Faites des exercices simples pour commencer et cela vous aidera à rester motivé et cohérent!

Entamer une nouvelle activité peut aussi être une excellente manière de lancer des défis à votre cerveau : assurez-vous simplement de ne pas trop en faire et sachez à quoi vous attendre!

Découvrez plus de conseils bons pour le cerveau et rester physiquement actif.
5. Vrai ou Faux? Il est impossible d’avoir des interactions sociales efficaces si je ne peux pas voir mes amis ou membres de ma famille en personne.
Désolé, essayez encore!

Réponse : B. Faux

À cause de la pandémie, on reste chez soi un peu plus que d’habitude, mais il y a des moyens de rester en contact avec ses proches et atténuer les effets négatifs de l’isolement social! Prévoir régulièrement des conversations au téléphone, rencontrer quelqu’un grâce aux médias sociaux et même envoyer une lettre sont des activités simples que vous pouvez faire qui feront certainement une différence pour vous et la personne à qui vous vous adressez!

Lorsque vous faites du clavardage avec vos amis et vos proches, suggérez de faire un jeu en ligne, de regarder un film ou de jouer à un jeu de labyrinthe!

Découvrez plus de conseils sur comment rester socialement actif grâce à nos ressources pour traverser la COVID-19.
Exactement!

Réponse : B. Faux


À cause de la pandémie, on reste chez soi un peu plus que d’habitude, mais il y a des moyens de rester en contact avec ses proches et atténuer les effets négatifs de l’isolement social! Prévoir régulièrement des conversations au téléphone, rencontrer quelqu’un grâce aux médias sociaux et même envoyer une lettre sont des activités simples que vous pouvez faire qui feront certainement une différence pour vous et la personne à qui vous vous adressez!

Lorsque vous faites du clavardage avec vos amis et vos proches, suggérez de faire un jeu en ligne, de regarder un film ou de jouer à un jeu de labyrinthe!

Découvrez plus de conseils sur comment rester socialement actif grâce à nos ressources pour traverser la COVID-19.
6. Qu’est-ce qui n’est pas un exercice d’aérobique?
Réessayer!

Réponse : A. La course

En matière d’activité physique, la Société Alzheimer recommande des exercices d’aérobique, comme le jogging, la marche ou la natation. Ces activités augmentent temporairement le rythme cardiaque et n’ont pas pour vocation à être intenses. Aussi, vous pouvez les faire pendant un certain temps. Même une activité toute simple, comme la marche, est un bon exercice qui est bon pour le cerveau et recommandé par les experts!

Même si la course est aussi un excellent exercice, elle demande une grande dépense d’énergie sur une durée assez courte. Si elle n’est pas effectuée correctement, ou si elle est faite trop longtemps, elle peut fatiguer votre corps et dans certains cas, elle peut provoquer des chutes pouvant entraîner un traumatisme crânien : un facteur de risque pouvant entraîner un trouble neurocognitif.

Découvrez-en plus sur les traumatismes crâniens et les risques pour les fonctions cognitives.
Exactement!

Réponse : A. La course

En matière d’activité physique, la Société Alzheimer recommande des exercices d’aérobique, comme le jogging, la marche ou la natation. Ces activités augmentent temporairement le rythme cardiaque et n’ont pas pour vocation à être intenses. Aussi, vous pouvez les faire pendant un certain temps. Même une activité toute simple, comme la marche, est un bon exercice qui est bon pour le cerveau et recommandé par les experts!

Même si la course est aussi un excellent exercice, elle demande une grande dépense d’énergie sur une durée assez courte. Si elle n’est pas effectuée correctement, ou si elle est faite trop longtemps, elle peut fatiguer votre corps et dans certains cas, elle peut provoquer des chutes pouvant entraîner un traumatisme crânien : un facteur de risque pouvant entraîner un trouble neurocognitif.

Découvrez-en plus sur les traumatismes crâniens et les risques pour les fonctions cognitives.
7. Vrai ou Faux? Jouer peut aider à réduire le risque de trouble neurocognitif.
Désolé, essayez encore!

Réponse : A. Vrai


Les jeux n’ont pas tous la même efficacité, mais des jeux bons pour la stimulation cérébrale vous aideront à faire plus attention, à travailler avec les autres, tester votre temps de réaction et à faire plus de tâches amusantes et bonnes pour le cerveau! Voici des exemples de jeux stimulants : les échecs, les jeux de table, les jeux vidéo, les jeux de mots et de nombres, les casse-têtes, le sudoku et les jeux de mémoire. 

Découvrez ces jeux bons pour le cerveau sur alzheimer.ca.
Exactement!

Réponse : A. Vrai


Les jeux n’ont pas tous la même efficacité, mais des jeux bons pour la stimulation cérébrale vous aideront à faire plus attention, à travailler avec les autres, tester votre temps de réaction et à faire plus de tâches amusantes et bonnes pour le cerveau!

Voici des exemples de jeux stimulants : les échecs, les jeux de table, les jeux vidéo, les jeux de mots et de nombres, les casse-têtes, le sudoku et les jeux de mémoire. 

Découvrez ces jeux bons pour le cerveau sur alzheimer.ca.
8. Comment en apprendre plus sur la santé cérébrale?
Exact, mais il y a une meilleure réponse !

Réponse : D. Toutes les réponses ci-dessus

Toutes ces possibilités sont d’excellentes options pour trouver plus d’informations et de soutien pour vous aider à soutenir votre santé cérébrale! Chaque personne est unique et votre plan pour la santé cérébrale l’est aussi. Votre médecin et le personnel compétent de votre Société Alzheimer locale peuvent aussi vous suggérer des exercices bons pour le cerveau qui vous conviennent et conviennent à vos besoins.

Contactez votre Société Alzheimer locale.
Exactement!

Réponse : D. Toutes les réponses ci-dessus

Toutes ces possibilités sont d’excellentes options pour trouver plus d’informations et de soutien pour vous aider à soutenir votre santé cérébrale! Chaque personne est unique et votre plan pour la santé cérébrale l’est aussi. Votre médecin et le personnel compétent de votre Société Alzheimer locale peuvent aussi vous suggérer des exercices bons pour le cerveau qui vous conviennent et conviennent à vos besoins.

Contactez votre Société Alzheimer locale.